Tous les articles par Nicolas H

Aménagements cyclables entre Vic et Mireval

Une réponse rapide du Département

La mobilisation pour la Convergence à Vic à vélo le 1er octobre dernier n’est pas restée sans lendemain ! Dès le 2 octobre en effet, le Département de l’Hérault publiait un communiqué de presse pour annoncer le traitement des discontinuités cyclables entre Vic-la-Gardiole et Villeneuve-lès-Maguelone.

Une rencontre en mairie de Frontignan

La Roue Libre de Thau a ensuite été contactée par le cabinet de Pierre Bouldoire, maire de Frontignan et premier vice-président du Conseil départemental de l’Hérault. Une rencontre des représentants de notre association et de Vélocité Montpellier s’est tenue le 19 octobre en mairie de Frontignan avec :

  • Pierre Bouldoire
  • Yves Jaumin, directeur de cabinet
  • Éric Meulin, responsable des aménagements cyclables au Conseil départemental
  • Frédéric Jauch, responsable de l’Agence technique départementale
  • Sylvain Menras, chargé d’opération (EuroVélo 8)

Sécurisation de la traversée de la RD114

Le franchissement de la route départementale 114 entre Vic-la-Gardiole et Mireval constitue le principal point noir, aussi bien pour la continuité des itinéraires cyclables longue distance que pour l’accessibilité de l’arrêt SNCF depuis Vic.

Deux solutions définitives sont depuis longtemps à l’étude pour sécuriser le carrefour 114/116.  Elles devraient être finalisées d’ici la fin de l’année 2018 avec la SNCF, en fonction du choix d’un passage sous ou sur le pont.

En attendant, un aménagement provisoire est en cours de réalisation : signalisation horizontale et verticale, bandes rugueuses, limitation de la vitesse à 70 km/h. Ces aménagements sont destinés à informer les automobilistes “qu’ils entrent sur un site partagé avec les cyclistes.”

À l’approche du pont, des bandes sonores au sol ont été réalisées, pour ralentir le flux routier.
Des damiers de peinture vertes signalent l’intersection des voies douces et des voies routières.
Deux bandes sont peintes sur chaque bord de la chaussée, représentant des pictogrammes de cyclistes.

Ces photos sont extraites de l’article de Thau Info que René Rispoli conclut par ce paragraphe : “Il faut espérer que ces aménagements provisoires, en attendant le franchissement de la route et de la voie ferrée en voie propre pour les vélos, apporteront une amélioration quant à la tranquillité et la sécurité des cyclistes, et des piétons.

La zone de rencontre

Le code de la route a évolué en faveur des piétons et des cyclistes

Depuis quelques années, le code de la route a connu de nombreuses évolutions, notamment pour améliorer la sécurité en ville et mieux protéger les plus fragiles : les piétons et les cyclistes. Pour de nombreuses personnes, ces règles n’existaient pas, ou ont évolué depuis qu’elles ont passé leur examen du code de la route.

C’est ce que nous rappelle le Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA), en produisant une série de 9 brèves pédagogiques pour porter à la connaissance du grand public les évolutions majeures. Nous vous présentons ici la zone de rencontre et deux exemples à Frontignan et Sète.

La zone de rencontre

La zone de rencontre est un espace de circulation ouvert, partagé par tous les usagers. Les piétons y sont prioritaires et peuvent circuler librement partout, y compris sur la chaussée. La vitesse des véhicules est limitée à 20 km/h.

Pour les cyclistes, les rues sont en principe à double sens, mais cela doit être confirmé par la signalisation adaptée.

Bien qu’entrée dans le code de la route en 2008, la zone de rencontre est encore mal connue et des panneaux explicatifs détaillés sont parfois présents. Ils permettent de rappeler ces principes fondamentaux : la priorité des piétons, la possibilité de circuler dans les deux sens pour les cyclistes et la nécessité pour les automobilistes de laisser la priorité à ces deux catégories d’usagers.

Centre ancien de Frontignan

Afin de maintenir une desserte automobile tout en privilégiant la déambulation des piétons, touristes ou locaux, tout le centre ancien de la ville de Frontignan est aménagé en zone de rencontre.

Tout le centre ancien de Frontignan est une zone de rencontre, où les piétons sont prioritaires (en jaune sur le plan).

Chacun des accès à la zone de rencontre est signalé par le panneau B52 et le marquage au sol correspondant. Ils représentent trois pictogrammes : un piéton, un cycliste et un véhicule représentant la cohabitation des différents modes de déplacement, ainsi qu’un panneau de limitation de la vitesse à 20 km/h.

L’entrée dans la zone de rencontre est signalée par le panneau et le marquage au sol adaptés.

Devant les Halles de Sète

Les Halles de Sète sont un lieu où la concentration de commerces génère une forte présence piétonne. Un panneau de zone de rencontre est installé rue Gambetta, avant la rue Frédéric Mistral.

La vélorue, ou comment rendre cyclable une rue étroite

La première vélorue de France est à Strasbourg !

La ville de Strasbourg vient d’inaugurer en grande pompe ce qui a été décrit comme la première vélorue de France. Mais de quoi s’agit-il exactement ?

La rue de la Division Leclerc est une rue étroite et à sens unique. Des bandes cyclables existent, mais elles ont été tracées sur les trottoirs et sont donc source de conflit avec les piétons.

Il a donc été décidé de remettre les cyclistes au centre de la chaussée, de les rendre prioritaires et d’interdire leur dépassement par les véhicules motorisés. Les automobilistes devront donc ralentir sur ce segment d’environ 300 mètres de long, ce qui contribue à la sécurité de tous.

La première vélorue de France à Strasbourg. Les cyclistes sont clairement invités à prendre leur place !

Quelle différence avec une rue étroite ?

En théorie, rien ne justifie le statut de vélorue. Dans une rue étroite en effet, si la largeur n’est pas suffisante pour doubler un cycliste en respectant la distance latérale de sécurité de 1 mètre, l’automobiliste doit s’abstenir de le dépasser.

Mais en pratique les cyclistes constatent tous les jours que nombre d’automobilistes ignorent ou contreviennent délibérément au respect de cette distance de sécurité et tentent des dépassements dangereux. D’autres usent de leur klaxon ou de leur pédale d’accélérateur pour effrayer les cyclistes et les inciter à serrer à droite au risque de heurter un trottoir ou de ne pouvoir éviter une portière qui s’ouvre…

Les avantage de la vélorue

La vélorue, dont le concept existe dans des pays comme les Pays-Bas et le Danemark où la pratique du vélo est courante, a le mérite de rendre visible la priorité des cyclistes et de permettre un changement de comportement des automobilistes.

Sur la chaussée, des logos de cycliste accompagnés de chevrons blancs sont peints au milieu pour inviter les usagers de la bicyclette à prendre leur place.

Un panneau spécifique invite les automobilistes à rester derrière les cyclistes, à réduire leur vitesse et à attendre la fin du segment concerné pour pouvoir dépasser.

Panneau temporaire expliquant le concept de la vélorue.

Dans les premiers jours, des panneaux explicatifs temporaires peuvent également être mis en place, et des distributions de tracts peuvent être envisagées.

Des vélorues à Sète ?

Une des spécificités de Sète est l’étroitesse de nombreuses rues du centre-ville, rues dans lesquelles les cyclistes éprouvent un sentiment d’inconfort voire d’insécurité. C’est le cas par exemple de la rue Mario Roustan et de la promenade J.B. Marty, ou encore des quais Adolphe Merle et Docteur Scheydt pourtant récemment réaménagés.

Sur le Quai Adolphe Merle, il n’y a clairement pas la place de dépasser un cyliste en respectant la distance latérale de sécurité de 1 mètre…

Dans ces rues du centre-ville où la vitesse devrait partout être limitée à 30 km/h, la création de vélorues pourrait être une solution efficace. Rapide et peu coûteuse, la mise en place se limite en effet à la peinture d’une signalisation horizontale adaptée et à la pose des panneaux.

En laissant les cyclistes sur la chaussée, la vélorue laisse les trottoirs déjà étroits et encombrés aux piétons. Le changement principal nécessaire est celui du comportement des automobilistes qui doivent apprendre à partager la rue avec les usagers plus fragiles et plus lents que sont les cyclistes.

Mais ralentir à 15-20 km/h au lieu des 30 réglementaires (ou qui devraient l’être) sur une distance de quelques centaines de mètres au maximum n’entraîne finalement un allongement des trajets que de quelques secondes.

Et la diminution de la vitesse générale a un effet positif sur la sécurité de tous : piétons, cyclistes, mais aussi automobilistes et conducteurs de deux-roues motorisés.

Enfin, cet apaisement de la circulation est la première étape d’un cycle vertueux : rassurés, les usagers ont plus nombreux à prendre leur vélo et à laisser leur voiture au garage, la circulation motorisée diminue, le bruit, la pollution et les risques aussi…

Retour sur l’AG 2017

Ce samedi 13 mai, une vingtaine d’adhérents venus essentiellement de Sète, mais aussi de Frontignan et Vic-la-Gardiole se sont réunis à la Maison de la vie associative de Sète pour l’Assemblée Générale de la Roue Libre de Thau.

Les adhérents de la Roue Libre de Thau à la sortie de l’Assemblée Générale.

Bilans de l’année 2016

Le rapport d’activités et le rapport financier 2016 ont été présentés et approuvés. Le montant de l’adhésion a été conservé à 5€, mais les adhérents qui le souhaitent sont invités à contribuer aux dépenses de l’association (adhésion à la FUB, frais de banque et d’assurance) par une cotisation plus importante. La moitié du Conseil d’Administration a été renouvelée par l’élection de 7 nouveaux membres.

Le Conseil d’Administration de la Roue Libre de Thau presque au complet (il manque Fred de Frontignan, déjà reparti !)

Discussions avec la ville de Sète

Enfin, le Projet pour un Bassin de Thau cyclable a été présenté par notre secrétaire. La présentation a été suivie d’une discussion avec Jean-Marie Taillade, élu de la ville de Sète, qui avait fait le déplacement. Espérons que ce premier contact pourra déboucher sur une concertation constructive avec la mairie à propos des futurs réaménagements de voirie et projets cyclables !

En plein débat sur les aménagements cyclables de la ville de Sète !

La réunion achevée, les participants se sont retrouvés dans le parc voisin pour un pic-nic partagé sous le soleil !

Pic-nic partagé à l’issue de l’Assemblée Générale de la Roue Libre de Thau.

Trois véloroutes à Sète

Sète est le point de départ (ou d’arrivée) de 2 grands itinéraires cyclables, et traversée par un 3ème :

  • ViaRhôna (Eurovélo 17) permet de relier le Lac Léman à la Mer Méditerranée  en suivant les rives du Rhône et celles du Canal du Rhône à Sète.
  • Le Canal des 2 Mers à Vélo relie l’Atlantique à la Méditerranée, le long de l’estuaire de La Gironde, du Canal de Garonne et du Canal du Midi.
  • La Méditerrannée à Vélo (Eurovélo 8) est un grand itinéraire cyclable qui reliera, à terme, le sud de l’Espagne à Chypre ! Au départ de Sète, cette véloroute se superpose à ViaRhôna vers l’est et au Canal des 2 Mers à Vélo vers l’ouest.
Extrait de la carte de l’AF3V, avec les véloroutes traversant le Bassin de Thau : ViaRhôna (marron), Canal des 2 Mers à Vélo (rouge), Méditerranée à Vélo (jaune)

Continuité et jalonnement

Ces véloroutes ne sont pas des itinéraires entièrement en site propre : elles sont généralement constituées d’une alternance de voies partagées disposant si possibles d’aménagements cyclables, et de voies réservées aux cyclistes, dont des voies vertes.

Idéalement, ces itinéraires sont continus, y compris dans les traversées des villes. De plus, ils doivent être correctement balisés pour permettre le repérage et l’orientation des cyclistes !

Dans le Bassin de Thau, le balisage des véloroutes est actuellement inexistant. Un jalonnement de certains itinéraires cyclables existe, mais il est limité à de petits panneaux sans indication de la destination. Les cyclotouristes ont parfois bien du mal à s’y retrouver !

Jalonnement d’un itinéraire cyclable à Sète. Où aller, sinon dans le mur ?

La continuité des itinéraires n’est pas non plus réalisée en raison des plusieurs segments manquants. L’aménagement de la traversée de Sète, de la liaison de Sète à Frontignan et de la jonction entre Vic-la-Gardiole et Mireval permettraient d’assurer cette continuité. Un itinéraire continu autour de l’étang de Thau permettrait de réaliser une variante offrant le choix entre les rives nord et sud.

Carte des véloroutes et voies vertes de l’AF3V : voies vertes (vert), véloroutes sécurisées (rose), liaisons ni sécurisées ni jalonnées (gris)

La demande de continuité et de jalonnement de ces itinéraires fait donc partie des projets portés par la Roue Libre de Thau.

En savoir plus

Une randonnée militante le long de la Méditerranée à Vélo est organisée cet été du 13 au 27 juin : c’est l’opération Plus Belle la Voie !

Pour en savoir plus sur les véloroutes françaises, voir les sites de France Vélo Tourisme et de l’Association Française des Véloroutes et Voies Vertes (AF3V).

Film de la vélorution

Ce dimanche 5 mars, une trentaine de cyclistes ont participé dans la bonne humeur à notre sympathique vélorution dans les rues de Sète ! Un parcours aller-retour de la place Aristide Briand au Lido, en passant par la Gare et les Quais du centre-ville récemment rénovés, avec quelques tours de rond-points au passage…

Merci à Ludovic Giffard d’avoir réalisé le petit film ci-dessous. Les photos sont aussi visibles sur Facebook.

Dans l’après-midi, 8 cyclistes ont pédalé de Sète à Balaruc.



Si vous y étiez, n’hésitez pas à nous proposer un compte-rendu ou vos photos de cette balade !

La Méditerranée à vélo

« La Méditerranée à vélo », c’est le nom de la partie française de l’Eurovélo 8. Cette véloroute permettra à terme de pédaler depuis le sud de l’Espagne jusqu’en Grèce en traversant la France, l’Italie et les Balkans.

Plus belle la voie

Une randonnée militante est organisée par l’AF3V entre les 13 et 27 juin 2017 pour parcourir la presque totalité de l’itinéraire français, entre Argelès-sur-Mer et Nice soit 750 km environ. Au cours des 15 étapes, des rendez-vous seront pris avec les élus pour échanger sur les perspectives offertes par la Méditerranée à vélo en matière de tourisme, de loisirs, de cadre de vie, et de développement local.

Étape à Loupian

Les cyclistes de cette randonnée nommée « Plus belle la voie » traverseront donc le Bassin de Thau au cours de leurs 4ème et 5ème étapes.  Rappelons que le Bassin de Thau est un site important pour le tourisme à vélo : Sète est également le point de départ (ou d’arrivée) de 2 autres véloroutes : ViaRhôna, qui mène au Lac Léman via la vallée du Rhône, et le Canal des 2 mers à vélo qui conduit jusqu’à l’Atlantique le long du Canal du Midi et du Canal latéral à la Garonne.

En provenance de Colombiers, les cyclistes arriveront à Loupian le vendredi 16 juin. Ils reprendront la route le lendemain en direction de Carnon. Ces deux journées, en particulier celle du samedi 17 juin pourront donc être pour les cyclistes du Bassin de Thau l’occasion de les rejoindre et de les accompagner sur une partie de leur itinéraire.

Signaler un problème d’aménagement

Personne n’est mieux placé que vous pour constater et signaler des problèmes dans votre quartier ou sur votre trajet quotidien : une rue particulièrement dangereuse, une intersection difficile à franchir, un aménagement cyclable mal conçu ou inexistant, une chaussée en mauvais état, un stationnement gênant récurrent, une absence d’arceaux accroche-vélo, des travaux de voirie réalisés sans création d’itinéraires cyclables

Vous pouvez nous signaler vos observations (via le formulaire de contact) pour nous permettre de mettre à jour notre carte des points noirs.

Mais nous vous conseillons également de transmettre vos observations à titre personnel directement aux services de la ville, soit par voie postale, soit via les interfaces en ligne (liens pour celles de Sète et de Frontignan). Nous pensons en effet que 50 courriers venant de 50 cyclistes mécontents peuvent avoir plus de poids sur les décisionnaires que le communiqué de notre petite association…

Piste protégée devant l’école Langevin

Le stationnement régulier de voitures sur la piste cyclable devant l’école Langevin faisait depuis longtemps partie des problèmes signalés par les cyclistes sétois, et figurait à ce titre sur notre carte des points noirs. Le passage des cyclistes devenait alors délicat, voire devait se faire à contre-sens !

À l’heure de l’entrée et de la sortie des classes en particulier, nombreux étaient les automobilistes n’hésitant pas à franchir les séparateurs plats en plastique, arguant de la célèbre excuse “J’en ai juste pour 5 minutes !”.

Même la requalification du stationnement sur piste cyclable en “stationnement très gênant” et le passage de l’amende encourue à 135€ au 1er juillet 2015 n’ayant pas été suffisamment dissuasifs, les services de la ville ont remplacé pendant l’été 2016 les séparateurs par un muret qui interdit de manière efficace le passage des voitures sur la piste cyclable.

Notons tout de même que l’aménagement aurait sans doute pu être mieux conçu initialement, de façon à éviter que la piste cyclable ne traverse deux fois sur quelques dizaines de mètres cette contre-allée de parking en perdant à chaque fois la priorité.

Vélo de nuit : le bon équipement

Le passage à l’heure d’hiver a lieu ce week-end : il permettra à tous de profiter d’une heure de plus dans la nuit de samedi à dimanche, mais le soleil va désormais se coucher vers 17h30 à Sète (et même avant 17h00 au solstice d’hiver).

Les trajets à la sortie de l’école ou du travail vont maintenant s’effectuer de nuit, et cette diminution de la visibilité n’est pas sans conséquences sur les routes. Le mois de novembre voit chaque année augmenter les accidents dans la tranche de 17 à 19 heures, et ce sont les piétons et les cyclistes qui en sont les premières victimes.

En plus d’une vigilance accrue, il importe donc d’être visible des autres usagers de la route en portant des vêtements clairs et en ayant un vélo bien éclairé . Comme le rappelle la FUB : à vélo, voir et être vu, c’est vital !

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Illustration de l’Association Droit Au Vélo

De nuit (ou de jour par mauvaise visibilité, ou dans un tunnel), l’équipement obligatoire à vélo comporte :

  • un phare + un réflecteur à l’avant (blanc ou jaune)
  • un phare + un réflecteur à l’arrière (rouge)
  • des réflecteurs latéraux (orange)
  • des réflecteurs sur les pédales
  • un gilet fluo rétro-réfléchissant, uniquement hors agglomération

L’absence d’équipement peut vous valoir une amende de 1ère classe (11 €), ou de 2ème classe (35€) pour l’absence de gilet fluo hors agglomération.

Enfin, rien ne vous empêche de compléter l’équipement obligatoire par d’autres accessoires lumineux ou réfléchissants : brassards, vêtements, écarteur de danger…

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