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Baromètre des villes marchables

Piétons et cyclistes même combat pour une ville rendue aux enfants, aux plus fragiles et aux modes doux. 

Vous pouvez  donner votre avis sur la « marchabilité » de votre commune en répondant en moins de 8 minutes à cette enquête ouverte jusqu’au 1 février 2023.

Piloté par le collectif Place aux piétons,  le baromètre va donner lieu à la publication d’un palmarès national des villes marchables au printemps prochain, puis à la tenue des deuxièmes Assises de la marche en ville à l’automne.

Le baromètre est un formidable outil de diagnostic des attentes des habitants ;  40 réponses minimum sont attendues par ville pour bénéficier d’un traitement.

Les résultats du baromètre des villes cyclables 2021

Allez sur la carte interactive pour connaître tous les résultats du Baromètre des villes cyclables. Vous pouvez choisir votre ville avec la petite loupe située à droite de l’écran.

N’hésitez pas à cliquer sur les 6 critères qualifiant le ressenti des cyclistes : ressenti global, sécurité, confort, effort de la ville, stationnement et évolution. Vous aurez ainsi les réponses aux différentes questions du baromètre. 

Sète, Frontignan, Villeveyrac, Mèze et Marseillan figurent dans les  résultats du baromètre 2022 des villes cyclables. Ces cinq villes du bassin de Thau améliorent leur positionnement dans le classement par rapport au précédent baromètre de 2019.

Cette année encore, Marseillan se classe troisième de sa catégorie des “petites villes” après St Jean de Monts et le Val de Reuil. Le climat vélo à Marseillan est jugé “très favorable” par les cyclistes.  Voir les commentaires des répondants sur Marseillan.

Les résultats sont moins brillants pour Sète, dont le climat est jugé “plutôt défavorable” une légère amélioration puisque Sète était classé “défavorable” en 2019. Voir les commentaires des répondants sur Sète.

Le climat vélo à Frontignan est jugé  “moyennement favorable” témoignant ainsi  d’une légère amélioration depuis 2019 où Frontignan se classait en “plutôt défavorable”. Voir les commentaires des répondants sur Frontignan.

Mèze bénéficie d’un climat jugé “plutôt favorable” d’autant plus méritoire que cette ville n’a pas été classée en 2019. Voir les commentaires des répondants sur Mèze.

Villeveyrac également nouvelle venue dans le classement du baromètre a un climat vélo jugé “défavorable” illustrant ainsi les progrès nécessaires pour améliorer la cyclabilité. Voir les commentaires des répondants sur Villeveyrac.

 

 

 

Votre ville est-elle cyclable ? Répondez au baromètre

Votre commune est-elle cyclable ? Faites connaitre votre avis sur la mobilité à vélo en répondant au Baromètre de la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB).

Les conditions de déplacement à vélo se sont-elles améliorées… dégradées, sont-elle restées identiques dans les 14 communes de l’agglopôle ?

Faites connaitre vos impressions quant au climat cyclable de la  commune où vous vivez et/ou de celles que vous parcourez sur vos trajets quotidiens pour votre travail, vos loisirs ou vos courses.

En moins de dix minutes, vous pourrez noter différents aspects du système vélo, recenser les lieux à aménager en priorité et ceux ayant connu une amélioration récente liée à un aménagement. 

Répondez au baromètre des villes cyclables afin que votre commune figure dans les résultats nationaux.

En 2019, seules les communes de Sète, Frontignan et Marseillan ont figuré dans le baromètre : voir les résultats du baromètre 2019.

Répondez au baromètre pour que la Roue libre de Thau puisse, en s’appuyant sur les résultats, interpeller les élus et leur proposer des pistes prioritaires d’action en faveur du vélo.

 

Baromètre des villes cyclables 2021 : préparez-vous à répondre

Le Baromètre des villes cyclables revient ! Préparez-vous dès début septembre à répondre au questionnaire qui sera en ligne jusqu’à fin décembre 2021.

La Fédération française des Usagers de la Bicyclette (FUB), dont la Roue libre de Thau  est membre, organise tous les deux ans un Baromètre des villes cyclables.

Inscrite dans le cadre de la campagne Parlons Vélo, cette enquête permet à nos concitoyens d’évaluer la cyclabilité de leurs communes et de proposer des pistes prioritaires d’actions aux décideurs publics.

Lancé en 2017, le baromètre en est à sa troisième édition. La précédente, celle de 2019,  qui a eu lieu de septembre à décembre 2019, a permis de récolter plus de 185 000 réponses et de qualifier 763 communes ayant collecté plus de 50 réponses. Il s’agit ainsi de la plus grande enquête cyclable au monde.

Les résultats de 2019 des trois communes de l’agglomération de Sète agglopôle ayant obtenu plus de 50 réponses  sont accessibles ICI.

 Sète a obtenu 209 réponses, Frontignan 80  et  Marseillan a créé la surprise par son fort taux de réponse : 155  réponses.

Marseillan a figuré au palmarès national de 2019 en se positionnant  3ème dans sa catégorie de ville (moins de 20 000 habitants).

Les résultats pour les villes de Sète et de Frontignan étaient moins glorieux : leur  climat vélo était jugé “défavorable” à Sète et “plutôt défavorable” à Frontignan.

Nul doute que la nouvelle édition du baromètre 2021 apportera des résultats différents. Répondez et faites répondre au prochain Baromètre des villes cyclables.

Mettre la France en selle

DIx-sept signataires (dont la FUB) proposent plusieurs mesures afin de mettre la France en selle dans cette période chahutée par les confinements et la crise économique et sociale qui en découle.

  • Abonder le fonds vélo de 100 millions d’euros supplémentaires en 2021
  • Financer des territoires pilote pour la conversion cyclable  (au moins une ville moyenne et un territoire rural par département)
  • Reconduire Coup de Pouce Vélo en 2021
  • Investir dans l’innovation vélo (vélo cargo, vélo taxi…)
  • Développer les stationnement vélos sécurisés
  • Déployer fortement le programme “Savoir rouler à vélo” dans les écoles primaires pour rouler en autonomie au collège

La tribune est à lire ICI.

Des aménagements temporaires pour le déconfinement

Les mesures de confinement ont entraîné un effondrement du trafic individuel motorisé.

L’espace libéré offre des possibilités d’aménagements cyclables temporaires pour les cyclistes qui sont obligés de se déplacer.

Quelles sont les opportunités de mise en place de tels aménagements ?

Participez au Webinaire organisé par le CEREMA ce mercredi 22 avril de 14 h à 17 h 30 avec la participation de Pierre Serne du Club des Villes et territoires cyclables, d’Olivier Schneider président de la FUB, l’ADEME et des collectivités territoriales (Montreuil, Grenoble, Montpellier…).

Liens pour se connecter:

Via PC, Mac ou un appareil Linux, iOS ou Android : https://meetings.ringcentral.com/j/1484734888

Voir le programme ICI

Le vélo, outil du déconfinement

 “Le vélo est un mode de déplacement particulièrement  adapté à la situation actuelle et celle que l’on va vivre progressivement, on y a une forme de distanciation sociale qui est celle recommandée actuellement, et cela a été décrit par les épidémiologiques comme un mode parfaitement adapté au déconfinement.  Pendant cette période, les gens vont avoir peur de reprendre le métro, le tramway, on le voit déjà en ce moment.”

Tel est le message de Pierre Serne, président du Club des villes et territoires cyclables et conseiller régional Ile de France (EELV) à qui la ministre Elisabeth Borne a demandé  de coordonner les initiatives de collectivités qui veulent développer rapidement des pistes cyclables temporaires.

Ce qui se pratique déjà en Europe du nord, Amérique du sud, ou à New York, c’est de prendre une partie importante d’une rue, d’une route, et de l’installer en piste cyclable temporaire avec des plots ».

Pierre Serne affirme qu’il faut anticiper le temps du déconfinement, “pour ne pas se retrouver confronté à des millions de cyclistes supplémentaires sans l’avoir prévu, mais profiter de cette période pour être prêt à le généraliser : Montpellier a commencé à le tester, Grenoble y est prêt, Paris aussi“.

Il y a déjà, en ce moment, beaucoup de cyclistes, pas forcément habituels  :  là ou il y a déjà des transports en commun, ces derniers sont vides, avec beaucoup de vélos autour” explique-t-il encore.

Si des villes comme Bogota ont parfois créé en une seule nuit des centaines de kms de pistes cyclables, Pierre Serne explique qu’en temps de confinement, “l’idée n’est pas de faire ça massivement d’un coup et de faire sortir les gens ou les ouvriers municipaux pour le faire, mais par exemple de l’imaginer pour desservir les nouveaux hôpitaux, très excentrés, ce qui serait très utile pour beaucoup de soignants“.

Sur les équipements : “Il y a déjà beaucoup de vélos déjà aujourd’hui dans les foyers” affirme Pierre Serne, qui cite une initiative de la FUB : “Des vélos pour l’hosto”, dans laquelle ceux qui en ont mais ne s’en servent pas, en ce moment, le prête à des soignants.

Après beaucoup de débats, voire de polémiques, sur l’usage du vélo en période de pandémie : est-ce interdit ou non ? la tendance  actuelle tend à faire du vélo un outil adapté au déconfinement à l’image de ce qui se passe en Allemagne.  On ne peut que s’en féliciter !

Le vélo en période de confinement

La FUB n’incite pas à une pratique massive du vélo et appelle chacun et chacune à rester chez soi tant que possible.
Toutefois, pour les déplacements absolument nécessaires (courses, trajet domicile-travail, etc.), il est officiellement autorisé par le Ministère de l’Intérieur et recommandé par la FUB d’utiliser le vélo comme moyen de déplacement. Vous pouvez également visionner la vidéo récente de la Ministre Elisabeth Borne à ce sujet.
 
Suite au flou initial et surtout face à des remontées de verbalisations arbitraires depuis le début de la période de confinement, la FUB souhaite récolter des témoignages de cyclistes verbalisés ou réprimandés, afin mieux mesurer l’ampleur du phénomène. Comptez sur nous pour agir en conséquence. Retrouvez le résumé de notre position sur twitter.