Le Midi-Libre s’empare du sujet qui fâche de plus en plus de cyclistes, en particulier celles et ceux qui utilisent leur vélo pour aller travailler.
Devoir renoncer à monter dans le TER faute de place pour son vélo n’est plus l’apanage des seuls cyclotouristes… les vélotafeurs sont désormais concernés.
Le sujet n’est pas nouveau. Le collectif Mon Vélo dans le Train interpelle les Régions (responsables des TER) afin qu’elles trouvent des solutions pour améliorer l’emport des vélos dans les trains et qu’elles harmonisent leur pratique en la matière.
La Région Occitanie, quant à elle, ne propose que de mauvaises solutions. Pendant la période estivale, elle a imaginé un système de réservation gratuite mal nommé “vélo serein” tant il irrite les usagers du quotidien.
L’autre “solution” préconisée par le vice-président Jean-Luc Gibelin chargé des mobilités est celle des deux vélos, un au départ et un à l’arrivée. Cette position est en totale rupture avec la loi d’orientation sur les mobilités qui favorise l’intermodalité vélo – train.